Jeudi 19 juin 2008 à 20:24

moi,moi,moi et encore moi

Il y a comme une odeur d'été dans l'heure
et de vacances proches

plus que deux jours d'épreuves et de trois de révision (bon calcul)

Mercredi 18 juin 2008 à 20:38

trajet de bus

j'aime être dans le bus quand je suis de bonne humeur qu'il fait beau mais pas trop chaud
j'aime être dedans parce que je m'immerge dans un bain de vie
tous ces gens comme une grande ruche ou une fourmillere immobile
tous égaux tous assi (sauf heure de pointe évidamment)

la vie que jentend dire "j'ai reconnu ta petite souer au quel est belle" "elle sort de chez le coiffeur"
ou celle que j'invente : le mec à coté ultra timide qui asse son temps sur des chats pour pervers ou
la blonde à l'allure de maquin de l'autre coté qui prend le bus pour aller voir son chéri cuisto
ou encore le grnad mec brun roux qui zieute de temps à autre dans ma direction c'est un grand pianiste

Lundi 16 juin 2008 à 9:33

un beau n'importe quoi

C'est l'histoire d'une fille et d'un garçon, d'une autre fille qui avait trois garçon et de son garçon qui aimait un garçon qui aimait les filles...

je suis d'humeur au n'importe quoi
j'espere que ça ne sera pas le cas cet aprem

Dimanche 15 juin 2008 à 18:02

un beau n'importe quoi

rouge à pois blanc qui dit l'autre la bas derrière l'écran
moi je lui dis demain on est le 16
regardez qu'il me répond
ben c'est la philo et j'ai pas vraiment beaucoup bien réviser
trois jour plutôt au départ de vienne
ouai en gros tu t'en fous de ce que je dis
tout vas bien ici tout est formidable
mais comme tu es aimable
l'espagne découvre
quoi?
il gagnera un jour la plus grand course du monde

merci

Samedi 7 juin 2008 à 23:44

balbutiment nocturne

en ce moment je me sens bien, limite euphorique.
bien dans mon corps (même les boutons et les vergeture je les acceptes), et saine dans ma tête
c'est à cause de la danse (ou plutôt grâce!)
cette impression magique, se mouvoir sur une scène, parler avec son corps
les bras voltigent au dessus de la tête, les jambes partent en chassé, et le visage s'illumine.
noir, nuit noir. les rideaux sont levés, en entend juste les bruit de nos pieds pour se placer
je vérifies  je suis sur la même ligne que Camille et entre Adélie et Margot , c'est tout bonla musique commence, un dernier soupir
et merde je me suis gouré de sens, Margot a vu : elle se retient de riremais c'est pas grave le reste s'enchaîne avec fluidité, comme si mon corps prévoyait tout à l'avance même plus besoin de réfléchir
un envol en liberté de 3min 23
la musique stop
les deux dernier geste
un regard d'adieu et bonjour aux coulisse
les gens applaudissent et nous on reprend lentement notre souffle et conscience du temps
et mon Dieu j'aime ça

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