Samedi 31 janvier 2009 à 14:48

C'est bien vrai que j'aime son sourire. La savoir triste me rend triste.
Son sourire il est beau, il est chaud, il est doux et il me manque.
Elle me manque.
Toute entière.
Même nos disputes me manque parce que si on se disputer ça voudrait dire qu'on serait côte à côte.
Mais bon la vie c'est comme ça, on se rencontre, on s'apprécie, on vie ensemble des choses formidables, on apprend à se connaitre, on rit, on pleure, on se soutient, on se parle, on rit encore un bon coup, on regarde next avec un plat de pâte, on se voit grandir, on se comprend, on s'aime, on stress pour les cours, on s'enguele pour les amours, on rêve à ce qu'il y a de mieux pour l'autre, puis on est séparé par la distance mais on continue à rester ensemble parce que il y a un lien qui nous relie.
Un fils de guei.
Un fils de coton (parce que c'est doux), de soie (parce que c'est cher), de cuivre (parce que c'est solide), de feutrine (pour les petites bêbetes), de rire (parce que ça fait vivre plus longtemps) et d'amour (pour l'amour)

Vendredi 30 janvier 2009 à 9:10

j'aime bien !

"Je suis une pâte à modeler qui se transforme selon vos intentions mais moi je sais qui je suis." (auto citation de 2006)
Malléable voila ce que j'étais.
Une pâte ça veut dire que la couleur, que la taille, que ce qui me constituait était fixe : des qualités, des défauts, des envies, des rêves.
Mais la forme que prenait cette pâte était tassé, poussée, manipulée. Bien sûr ces modifications personnes ne les créaient volontairement.
Être malade ma étalée par terre, m'a fait prendre conscience qu'il serait temps de me façonner moi même.
Alors je me façonne. Je deviens moi.
Bonjour je m'appelle Marie et je suis heureuse d'être moi.

Jeudi 29 janvier 2009 à 9:00

Les dés sont lancés.

Mercredi 28 janvier 2009 à 2:39

je ne sais pas par où commencer.
Les larmes qui coulent au fond du lit, l'envie de parler avec Papa appuyer contre la porte les bras autour des jambes la tête enfouie dans les bras pour cacher les larmes. Toujours c'est même larmes qui coulent quand je parle de moi. Quand je réalise quelque chose sur moi. J'aime tellement le bonheur que je m'interdis tous malheurs, mais elles sont toujours la pour me rappeler qu'il y a quelque chose qui cloche. Je ne sais plus ce que je veux faire. J'aime pas dessiner, j'espérais qu'il ne faille pas savoir dessiner pour être graphiste grave erreur de ma part. Je suis dans le groupe des nulles, c'est fou comme je prenais ça avec lègerté et insouciance dan l'après midi, j'étais resolue, je me suis dit c'est pas grave. Mais maintenant face à moi même, dans le nuit je sais que c'est grave. Je ne me sens pas à ma place. Moi j'aime le papier le toucher avec la matiére les couleurs le contraste la ligne simple le volume avoir quelque chose à tenir dans les mains creer de la matiere de la sensation La forme exacte la structure parfaite je m'enfous, ça ne respire rien, ça n'a pas d'âme. J'aurais du devenir rat de bibliotheque j'aime vivre dans les livres par procuration je ressens tellement bien ce que vive les personnages de papier J'ai vécu un million de vie. Je me demande ce que je me cache au fond de moi pour avoir cette apréhencion à parler. Je me suis demandé pourquoi il a falu que je leve au millieu de la nuit pour venir écrire tous ça. Je dialogue toute seule dans ma tête, je me fais mes films je les crois vrai totalement vrai et ça me va. Mais j'ai envie de partager mes sentiments avec des gens, je n'y arrive pas par oral alors autant écrire. Je me trouve insignifiante, il y a un souvenir qui me titille le cerveau un truc qui a raport avec ma vie et le fait que j'en parle pas, une reflexion que je me suis faite au college. Qu'il n'y avait pas d'interet à raconter ma vie, qu'elle était insignifainte. c'est pour ça que tout est baser sur le rire chez moi. parce que les gens aiment les gens heureux, les gens tristes les repoussent. attiré par le bonheur. je sais je me suis dit vue que ma vie est insignifiante, que je sais pas la raconter il faut que je ris pour avoir des amis. j'ai jamais su raconter. bone lectrice mauvaise romanciere. j'aspire la vie des autres mais ne transmet pas la mienne. c'est de la que vient ce besoin d'écrire ce blog. savoir que j'ai la possibilité de partager ma vie avec d'autre tout en leur laissant le choix d'écouter ou non. j'aime pas beaucoup écouter les autre non plus. je vis renfermée. et élastique en même temps. écouter quelqu'un qui a choisit de me dire quelque chose m'interresse moins que d'écouter des conversations qui ne me sont pas destinés. la folie, je pare mon manque de savoir parler et de savoir écouter par la folie, le rire, les sourires. j'ai remarqué que les gens sont toujours positif au sourrire, que je me contente d'un je ne parle pas je souris. je dit d'accord pour montrer que j'écoute. m'interresse au gens tous en sachant que j'oublirais dans les instant qui suivent.ma vie est un flou total je n'arrive pas à me souvenir d'élement précis. tout est flou. les détails m'échappent completement. les sentiments s'évaporent. il me reste que des sensations, des contours brouillées. je vois flou. il n'y a pas grand chose qui s'imprime dans mon cerveau. je dis tous le temps je sais pas retenir Pour que je sache quelque chose il faut que ça soit logique. rien est logique dans une vie.
ni par où finir.
http://bleuframboisse.cowblog.fr/images/ode20.jpg

Mardi 27 janvier 2009 à 11:23

Vite vite il me faut de la vitesse
je ne tiens plus en place
impatiente
je sautille
vite faut que je mange, que j'engloutisse que je me remplisse
mes doigts courent, mes pieds battent la mesure, mes yeux naviguent à cent à l'heure
j'ai attendu une heure immobile devant un borne
maintenant je veux de la vitesse
un TGV svp.

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