Jeudi 31 décembre 2009 à 19:45

.... et patati et patata

J'aimerai avoir le temps de vous raconter Paris sous la neige, Londre, la magie de noël entre larmes et rires, les soirée à répetition, la soirée à Lyon...
Mais pour une fois que je prends le temps de vivre, j'en n'ai plus pour ici.
Pendant ces vacances j'ai pris une grande inspiration pour pouvoir tenir en apnée jusqu'à la fin du bts.
La rentrée prochaine sera un soulagement si j'arrrive à aller à Angoulême.

Lundi 7 décembre 2009 à 22:29

enfant absurde

À 6ans je jouais comme tout le monde à Papa et Maman avec mes amies Avec une d'entre elle, on était très perfectionniste et jusqu'au-boutisme. Alors quand elle venait dormir à la maison on approfondissait l'art d'être parents en faisant un semblant d'amour nue l'une sur l'autre, j'étais toujours la fille parce que j'avais les cheveux long.

Jeudi 3 décembre 2009 à 20:44

balbutiment nocturne

Papy-en-photo me regardent de ses yeux immortalisés. Marie-en-photo est dans ses bras, elle est toute jeune et toute souriante.
J'ai l'impression qu'il veille sur moi et des fois dans ma tête je l'entend encore chantonnai ma chanson-celle pour le chemin de l'école.
Je me rappelle l'été avant-dernier j'étais à Prague c'était beau, c'était grand ,on allait voir un expo dans un vieux château. Maman m'a appelé et avant de décrocher je savais. J'ai senti un grand vide. Elle m'a dit quelque chose, je voulais pas y croire alors elle a repeter. Papy est mort. J'ai chu, il y avait leurs bras qui me retenait mais je ne savais plus rien, je ressentait juste un trou au fond de moi. Je ne souviens plus de grands choses à part de mes larmes, de la beauté de prague, de mon retour plutôt que prevu en avion. On étais tous chez Mami, il était dans la piéce d'à coté. Mami m'a demandait si je voulais le voir, mais je n'ai pas pu, je ne voulais pas, je n'en voyait pas l'interêt. Il était plus la, plus jamais pour moi, il chanterait plus jamais. Le soleil brillait fort, la terre était fraiche et son corps enfermé dans une caisse en bois.
C'était juste avant Strasbourg, alors j'ai fait semblant d'oublier. Alors j'ai vraiment oublié qu'il était mort. Et desfois sans comprendre pourquoi je me rapellais que si. Alors au fond du lit je versais des larmes solitaires. Et je repensais à tous ces morts. Tous ces cerceuils en bois qui me font frisonnait.

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