Mince alors, j'entends pleins de rire mais la cause m'échappe, la musique me happe.
Je sais toujours pas où je vais mais je suis fier d'y aller.
(la photo est de manon)
Samedi 14 février 2009 à 23:26
Voila deux verres et je suis déjà comme un queue de pelle!
Mince alors, j'entends pleins de rire mais la cause m'échappe, la musique me happe.
Je sais toujours pas où je vais mais je suis fier d'y aller.
(la photo est de manon)
Mince alors, j'entends pleins de rire mais la cause m'échappe, la musique me happe.
Je sais toujours pas où je vais mais je suis fier d'y aller.
(la photo est de manon)
Mardi 10 février 2009 à 23:23
Maintenant je sais que j'aurais de aboutir mon projet, y aller jusqu'au bout ou ne pas le commencer. Parce que maintenant je suis juste seule, frustrée et prostrée. Des images me hantent, je ne suis pas libre, prisonnière de moi même et de rêves inassouvis. Des actes et une libération. Hier j'étais moi et demain je serais encore moi, malgré tout ce qui se passe autours. Des poussières d'étoile aux coins des yeux. Des étoiles de rêve, de tristesse, de désespoirs, d'envie et du ciel. Vivre avec ces principes. J'essaye, j'essaye mais ils ne sont pas tous connus au bataillon. Complications. Absurdités. Néant et boite à gant. Merci.
Boite à gant.
dentifrice!
Boite à gant.
dentifrice!
Dimanche 8 février 2009 à 10:41
Je suis fragile, ne venait pas me briser.
Je passe de bonheur intense à crise de larmes féroces.
Des vagues de haut et bas trop rapprochés à mon goût.
Rien ne se passe comme je l'espere.
Je passe de bonheur intense à crise de larmes féroces.
Des vagues de haut et bas trop rapprochés à mon goût.
Rien ne se passe comme je l'espere.
Un grand café est c'est reparti.
On verra bien quelle surprise m'attend aujourd'hui.
note à moi même penser à ne rien attendre de l'autre
On verra bien quelle surprise m'attend aujourd'hui.
note à moi même penser à ne rien attendre de l'autre
Dimanche 4 janvier 2009 à 0:04
J'aimerais tant être plus ce que je ne suis pas, mais qui m'attire.
Tu sais ce truc brillant -qui me fait rêver- que je retrouve chez les gens que j'admire, ceux que j'idole et qui m'envoutent.
Voila c'est ça dont je te parle.
Oui mais à coté j'aime tellement mon air de campagnarde et de hippies naturiste.
Puis je me dis qu j'ai tellement à apprendre encore.
Que ça viendra.
Et si ça vient pas c'est que je me suis trompé de voix.
Peut-être que maintenant c'est un peux tard pour les doutes.
Que ça viendra.
Et si ça vient pas c'est que je me suis trompé de voix.
Peut-être que maintenant c'est un peux tard pour les doutes.
Et notre chocolaterie me fais rêver.
Samedi 3 janvier 2009 à 2:00
Premier article de 2009.
constatation, exclamation, jubilation, contradiction, ronflement et poésie.
Je suis chez Guei, la chaudière fait un bruit d'enfer, le matelat pneumatique est dégonflé mais je suis heureuse. Plus qu'heureuse même (mais je trouve pas le mot).
Les vacances ça passe trop vite, juste le temps de se dire tient je suis en vacances, qu'elles sont finis. Alors il faut faire des choix: ami/famille ou boulot. Et là le choix se fait plutôt rapidement. Alors on fait des plans par centaines qu'on réalise (et d'autre pas). On profite à fond de ceux qu'on voit, on pense à ceux qu'on n'a pas le temps de voir et on pense aussi à ceux qu'on ne verra plus. On réalise, on verse une larme aux souvenirs puis ça passe.
Tellement de choses à faire en si peux de temps. Alors les nuits raccourcissent et les cernes s'allongent.
Paris et jour de l'an. Deux choses qui vont bien ensemble. On se retrouve dans son grand appartement qui sera bientôt plus le sien. On se retrouve dans la joie, dans la bonne humeur, dans la folie et dans l'alcool.
On se retouve dans le métro à minuit. Alors on hurle des bonne année et on s'arrose de champagne.
Les déguisement plus au moins voyant se suivent et se ressemblent ou pas. Les mecs relou nous poursuivent, nous pas.
Au pied nord de la Tour Eiffel, la partie prend un autre tournent. Aprés admiration vient complication puis fuite. Marre des relou.
Clou de la soirée : extinction des feux dans le métro. Grand noir et imagination foudroyante, claustrophobie et mal aux ventre.
Mais on s'en fout autaut que la derniére gique de Paulette et la route reprend la fête.
Avant ça, il y a eu cela. Cela c'est une soirée entre nous, entre Geui, entre amis. Une soirée bien à nous (presqu'a nous).
Des talents de pilotes incondestables : demi tours dans rue à sens unique en déplacant poubelle mal garée.
Un verre de biére mais pas plus, Sam ce soir c'est moi !
Et encore plus avant il y a eu Noël, le vrai ,le grand, celui que j'aime.
constatation, exclamation, jubilation, contradiction, ronflement et poésie.
Je suis chez Guei, la chaudière fait un bruit d'enfer, le matelat pneumatique est dégonflé mais je suis heureuse. Plus qu'heureuse même (mais je trouve pas le mot).
Les vacances ça passe trop vite, juste le temps de se dire tient je suis en vacances, qu'elles sont finis. Alors il faut faire des choix: ami/famille ou boulot. Et là le choix se fait plutôt rapidement. Alors on fait des plans par centaines qu'on réalise (et d'autre pas). On profite à fond de ceux qu'on voit, on pense à ceux qu'on n'a pas le temps de voir et on pense aussi à ceux qu'on ne verra plus. On réalise, on verse une larme aux souvenirs puis ça passe.
Tellement de choses à faire en si peux de temps. Alors les nuits raccourcissent et les cernes s'allongent.
Paris et jour de l'an. Deux choses qui vont bien ensemble. On se retrouve dans son grand appartement qui sera bientôt plus le sien. On se retrouve dans la joie, dans la bonne humeur, dans la folie et dans l'alcool.
On se retouve dans le métro à minuit. Alors on hurle des bonne année et on s'arrose de champagne.
Les déguisement plus au moins voyant se suivent et se ressemblent ou pas. Les mecs relou nous poursuivent, nous pas.
Au pied nord de la Tour Eiffel, la partie prend un autre tournent. Aprés admiration vient complication puis fuite. Marre des relou.
Clou de la soirée : extinction des feux dans le métro. Grand noir et imagination foudroyante, claustrophobie et mal aux ventre.
Mais on s'en fout autaut que la derniére gique de Paulette et la route reprend la fête.
Avant ça, il y a eu cela. Cela c'est une soirée entre nous, entre Geui, entre amis. Une soirée bien à nous (presqu'a nous).
Des talents de pilotes incondestables : demi tours dans rue à sens unique en déplacant poubelle mal garée.
Un verre de biére mais pas plus, Sam ce soir c'est moi !
Et encore plus avant il y a eu Noël, le vrai ,le grand, celui que j'aime.
contente d'avoir retrouvée mon clavier
