Une chape de brouillard a pris ses aises autour de ma tête. Je ne sais plus où aller.

Et merde! Voila que ce matin quand le réveil a sonné je l'ai instinctivement éteins et je me suis rendormie. C'est quand le réveil de Rachel (ma coloc) a sonnée j'ai paniqué. Elle commence à 10h mais moi non! J'aurais du être en cours depuis 1h30. Tant pis alors je me dis, je profite de cette matinée pour rattraper mon retard de cours. Et le je viens d'apprendre que les autres on commencé un temps limité. Je suis maudite. Pourquoi il a fallu que je ne me réveil pas juste ce matin? Maintenant je suis grave dans la merde.
(Désolé pour le manque total de poésie de cette article, mais là je suis plus d'humeur à me fracasser la tête sur un mur, que de réciter du Baudelaire)

Je pourrai raconter comment mes toilettes on été inaugurées, mon envie pressante d'être nu comme un vers, les bouteilles qui traînent dans l'appart, le champs de bataille qu'il est devenu....
Mais la seule chose que j'ai vraiment ressentie pendant la soirée c'était notre solitude, à tous et de manières différentes.
Mais là avec un besoin d'affection à combler. Chacun ses rêves et ses espoirs. Chacun ses doutes et ses souffrance. Et cet état de solitude qui nous uni.

La neige virevoltait au rythme de mes pensées.
Qui suis je?
Où vais-je?
Je l'ignore mais j'avance à grand pas dans ce chemin bordé de points d'interrogations.