De retour aux pénates le cœur ensoleillé et les yeux remplis de souvenirs.

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Tout a pris un air printanier et une odeur de feu de bois. Un château presque aussi parfait qu'un conte de fée, le château du bois Guilbert perdu dans la vaste Normandie, qui nous a accueilli dans le soleil. Pendant cette base BAFA pas le temps de s'ennuyer, de se perdre dans les dédales de son cerveau, de carboniser le reste de notre intégrité, de labourer notre dignité.
Juste le temps pour vire, apprendre et profiter.
Et rencontrer, et redécouvrir des sourires et rires sincères sur des visages qui deviennent de moins moins inconnue.
Puis au bout d'une semaine dans un monde imaginaire médiéval, un retour brutal dans la ville stress de Paris.
S'en mettre un  maximum dans les yeux pour se souvenir de tous ce qu'on voit de tout ce qu'on revoit, garder une trace de ce bonheur retrouver.
Puis vouloir arrêter le temps dans ces bras, vouloir retenir à jamais ce délicat baiser posé sur le haut du front,  vouloir avoir la force de le regarder droit dans les yeux et l'embrasser avec la fougue qu'il mérite ce nouveau guerrier prince charmant. L'absence de baiser est comme un point d'interrogation pour le futur.