Jeudi 19 mars 2009 à 23:24

.... et patati et patata


J'ai des envies de robes à fleurs, de soleil, de courses à vélo, de matchs de foot entre filles et en sandales, de concerts des ogres de barback, de demi pêches à la boite à sardine, de dormir, d'être appeler par des gens que j'aime, d'écritures, de lectures, de dévorage de livre, d'océan....

Aujourd’hui c'était journée sans cours, c'était journée soleil et pique-nique dans le parc de l'Orangerie.
C'était journée robe et soleil. Journée à part. Journée parenthèse.

Hier soir c'était soirée rencontre avec la classe de Rachel -ma coloc.
C'était soirée au java. Soirée danse. Soirée rire.
Soirée souvenirs tristes sur le chemin du retour.

Un jour Maman m'a proposé -au cas où je rate ma vie de graphiste- d'être bibliothécaire.
Un jour je serais peut-être bibliothécaire.
Mais mieux un jour je serais graphiste.
Graphiste avec conviction.
Graphiste sans publicité.
Graphiste de belles images avec de belles pensées.


Plusieurs jours surement je trimerai.
Plusieurs jours surement je pleurerai.
Mais maintenant je veux profiter des mes années de jeunesse sans me soucier de gagner ma croute.

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http://bleuframboisse.cowblog.fr/images/IMG3210.jpgAh oui! Demain c'est sorti au ZKM.
Un musée en Allemagne, sur l'art numérique et multimédia.
Et dans un tout petit peu plus d'une semaine, je fais un saut à Grenoble.
J'espère que mes rêves seront comblés.


Mercredi 18 mars 2009 à 14:51

et puis c'est tout !

Le soleil brille haut dans le ciel, ça donne des envies de robes et de bonheur.

Lundi 16 mars 2009 à 10:51

les bizarerie de la vie

Et merde! Voila que ce matin quand le réveil a sonné je l'ai instinctivement éteins et je me suis rendormie. C'est quand le réveil de Rachel (ma coloc) a sonnée j'ai paniqué. Elle commence à 10h mais moi non! J'aurais du être en cours depuis 1h30. Tant pis alors je me dis, je profite de cette matinée pour rattraper mon retard de cours. Et le je viens d'apprendre que les autres on commencé un temps limité. Je suis maudite. Pourquoi il a fallu que je ne me réveil pas juste ce matin? Maintenant je suis grave dans la merde.
(Désolé pour le manque total de poésie de cette article, mais là je suis plus d'humeur à me fracasser la tête sur un mur, que de réciter du Baudelaire)

Dimanche 15 mars 2009 à 19:03

balbutiment nocturne

Ce fut un week-end bien chargé. Pas même le temps de dormir. Pourtant j'en aurais bien eu besoin.
Tout ça à commencer Samedi par la journée porte ouverte, où j'avoue avoir rien fait. Mes parents étaient arrivés le matin pour voir les portes et moi.
Et comme bien souvent en compagnie de ma mère mon humeur fait chute libre.
Alors point de joyeux sourires pour les visiteurs.
Puis vient le soir avec "un petit restaurant typique" comme dirait ma chère et tendre mère.
Donc pour résumer je suis fatiguée, j'ai pas dormi de la semaine ou presque, je me levé a 8h un samedi matin, alors pour finir d'achever cette fatigue je sors pour faire un reportage photo.
Une chose toute nouvelle et assez impressionnante, j'ai adoré sauf cette impression désagréable qui me colle à la peau: celle de pas être à la hauteur.
Le but c'était de prendre les gens en photo pour qu'il garde une trace de leur soirée.
L'ambiance avec un appareil photo est plus conviviale, les gens viennent te voir plus facilement et toi tu as une raison pour leur parler.
Mais de voir tous ces gens gesticuler ça fait peur pour mon tout beau appareil, j’étais pas super détendue.
Dodo de 5h et appelée de Maman pour dire qu'ils arrivent dans 20 min.
Une douche et un départ pour le musée alsacien.
Une très chouette visite et encore un resto.
Puis me voila maintenant à vouloir bosser depuis 16h37, et à actualiser le site de photo pour voir si elles sont enfin affichées.

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Vendredi 13 mars 2009 à 2:31

balbutiment nocturne

Une grande nostalgie m'envahit. Ma petite -pas si petite que ça- ville me manque.
Voir des visages connus dans le bus, croiser le regard d'ami de vieille date, rire dans les rues, se donner rendez vous à la boite à sardine...
Mais au fond de moi je sais que j'ai fait la meilleur chose qui pouvait m'arriver en partant à Strasbourg.
Ça m'a permis de finir de me construire, de prendre mon envol, d'apprendre l'autonomie et la débrouillardise.
Même si ma ville me manque, je sais que j'ai dans mes affaires strasbourgeoise beaucoup de souvenirs qui remplissent mon cœur de bonheur.
Des souvenirs de la primaire, du collège, du lycée, de ma famille.
Ma famille dans son plus large sens.
J'ai l'impression d'enfin commencer à ressembler à ce que je voulais être.
Je deviens la femme qui me faisait rêver plus jeune.
J'aimerais graver à jamais ce souvenir dans ma mémoire. Ce souvenir de bien être et d'accord avec moi-même.
Même si se promener avec moi c'est se promener avec un point d'interrogation sur pattes.

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