Samedi 26 avril 2008 à 0:13

balbutiment nocturne

les cheveux défait et la mine défaite
le tient pâle et les yeux cernées

je m'enfonce dans la nuit devant une lueur bleuté
la peau devient grasse

8 messages clignotants en orange

le temps c'est une roue de charrette qui roule sur un piste en pente
mais le tout est de savoir si la vie c'est la roue qui tourne ou le sillon laissé

dans moins d'un mois j'ai 18ans
et ce matin (la on ne peux plus parler de soir on est déjà demain) j'irais fumer

même plus des roulés des indus
et quand je fais ça j'ai l'impression de te tuer mamie
et je t'avais promis
"j'avais je ne toucherai une clope"

puis de promesse en prétextes et fausses excuses
je me retrouve le tient vitreux à avoir envie de fumer comme une toxico en manque

alors que ce qui me manque c'est l'impression d'être utile

oui envie de servir à quelle que chose

pourtant je vie et c'est bien
j'ai passée trois semaine à courir et à enfin retrouver le temps que j'avais laissée filer

3semaines de joie qui donne l'impression d'avoir vieilli d'un an (note optimiste pour finir parce que c'est toujours la nuit que j'ai envie de changer le monde et moi par la même occasion)
utopie d'insomnie

Vendredi 18 avril 2008 à 11:45

et puis c'est tout !


Un moine tibétain marche sur une route glacée de montagne et entend un faible pépiement.
Il regarde autour de lui et voit au pied d'une haie, un tout petit moineau à moitié mort de froid.
Il le prend et le réchauffe dans ses mains.
"Que faire", s'interroge-t-il ? "Si je le garde avec moi, il va salir ma robe et au couvent le chat le mangera. Si je le laisse ici, il va mourir de froid."
Soudain une idée lui vient. Pour le protéger du gel, il place l'oisillon dans une bouse fumante de vache sacrée, et poursuit son chemin, l'âme en paix.
L'oisillon se réchauffe et commence à chanter à plein gosier sa joie d'être encore vivant.
Un renard qui passe par là, entend la bouse de vache chanter. Intrigué, il s'approche, découvre notre moineau, et le croque.

Trois moralités à cette histoire.
Celui qui te met dans la merde ne te veut pas forcement du mal.
Celui qui t'en sort ne te veut pas forcément du bien.
Quand tu es dans la merde... ferme ta gueule.

 apparence trompeuse
                                                                                     il faudrait que je vous racontes
                                         ma vie
                                                              le temps qui passe
                                                                                 il faudrait que je me rappelles
                                              de ma vie
                                                                 mais le temps passe

Dimanche 6 avril 2008 à 23:04

balbutiment nocturne

c'était beau et grand comme une tour Eiffel installée dans ma maison
beau parce qu'on est toute la
grand comme notre amitié

la douce musique du rire d'H et d'A, une mélodie semi-adulte de début de majorité encore teinté d'enfance

Samedi 5 avril 2008 à 12:36

.... et patati et patata

Tum tum tum tam tum tum tum tam tum tam tam machistador tum tum tam tum tum.......

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