Mercredi 12 décembre 2007 à 20:00

trajet de bus

j'ai rejoint le tram à dos de cycliste

Mardi 11 décembre 2007 à 21:20

moi,moi,moi et encore moi

Elle desteste qu'on la juge; Peur du regard, de la critique. On peut lire sur sa tête ne me regarder pas, je suis insignifiante. Aucune confiance.

Si jamais vous lui accorder un regard, un peu accusateur, elle sue, se gratte, et rougit.
Peur des notes à l'école. Les autre et les prof pour elle s'est la même chose: des être avide de critique.

Peur de se metre à nue. Ne se dévoile pas ou seulemnt un couche externe, sa couche presentable, sa couche qui n'est pas telment elle.

Le jeu de la seduction, elle n'y joue pas. Les régles de bases lui échappe. Elle essaye pourtant des les garder, elle tient ses poing fermés sur ses idées, mais ses régles sont plus glissantes qu'un petit poisson. Elles s'échappent et s'évaporent; et repartent pour de meilleurs dompteurs.
Elle, elle drague sans le savoir, sans le vouloir, sans viser. Un charme qui sort d'elle et envoute celui à qui elle ne pensait pas. Une dragueuse hasardeuse.

Elle rougit. Se cache. Timide

Lundi 10 décembre 2007 à 23:02

moi,moi,moi et encore moi

Mettons un point de départ

Quand on la voit de loin on remarque un petite silhouette bien anodine se fondant dans la masse, se cachant derriére les grands (soit plus d'un métre soixante-cinq).
La taille moyenne, une démarche hésitante bien peut sur d'elle; le genre de fille qui passe inapercu.
Une jeune fille qui paraît plus jeune que son âge, elle essaye au maximun d'oublier de grandir.

Peut-être que lorsqu'elle sourit on voit encore sur ses traits fatiquées un large sourire de bambin. D'ailleur il reste encore un peu du charme enfantin sur ses joues legerement roses et bombées.

Des petites boucles tout autour de la tête, une auréol de cheveux. Brune.

Son visage d'entre deux âge encore bordée des maléfices de l'âge ingrat; aussi només acnée; et garnit de deux yeux changeant d'humeur. Peut-être la seule partie de son corps qu'elle aime vraiment. Ses yeux barométres. Ils passent du marron au vert selon ces humeurs.
Mais la pluspart du temps son visage est impassible, aucune expression s'en émane, des yeux vagues.

Pourtant elle aime sourire cette fille-la. Il lui faut sa dose tout les jours, c'est sa drogue.
Elle souri souvent pour rien, elle se dit qu'il faut sourir le plus possible. C'est son chemin vers le bonheur.

Elle a ses plaisirs simples.Prendre un douche chaude, discuter avec une amie, manger du chocolat, sourire à des inconnus, écouter sa musique qui rend heureuse (la derniere de l'album de Ben Harper),dormir..

Elle a aussi beaucoup d'angoisse cette fille la. Surtout la peur de son devenir. Un sorte de barriére qui se plante juste derriere l'objectif de son bac. Elle a des insomies, des sautes d'humeur, des larmes faciles.

Elle se trouve beaucoup beaucoup de defauts, mais essaye de les oublier. Elle se trouve trop méchante, trop lointaine, pas assez passionée, trop peureuse...

Cette fille je la connait peut-être mieux que tout le monde et surment moins bien que pleins de gens

Lundi 10 décembre 2007 à 20:08

les bizarerie de la vie

Un ministre carolo vient à un congrès officiel à Liège, et se fait inviter à dîner chez son homologue liégeois.
En voyant la somptueuse maison de ce dernier, et toutes les toiles de maître aux murs, il lui demande comment il peut bien s'assurer un tel train de vie avec sa paie, somme toute modeste, de serviteur du pays.
Le liégeois l'entraîne près de la fenêtre :
- Vous voyez l'autoroute là-bas ?
- Oui
- Elle a coûté 20 milliards, l'entreprise l'a facturée 21 et m'a versé la différence.
Deux ans plus tard, le ministre liégeois est en déplacement officiel à
Charleroi et rend visite à son homologue.
Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il n'en avait encore jamais vu, entièrement couvert de peau de zèbre. Stupéfait, il demande :
- Mais je ne comprends pas, il y a 2 ans vous trouviez que j'avais un train de vie princier, mais par rapport à vous...comment vous faites ?
Le ministre carolo l'entraîne alors près de la fenêtre :
- Vous voyez l'autoroute là-bas ?
- Non!

voila un blague qui me fait rire bien jaune

la triste réalité

Dimanche 9 décembre 2007 à 20:36

moi,moi,moi et encore moi

"j'aime pas les dimanche matins à Grenoble, on dirait que tout le monde est mort"

On (marion and me) parti sur les piste du dance floor, le groove en nous ou presque
Enfaite c'était plutot soirée pepere bouriquet
Et plutot dance entre les flaques

On a dormi cul à cul dans un même duvet deplié
On a parlée comme un soirée pyjama

On croisée deux cas sociaux dont un parit-il est tombé amoureux de moi

Puis j'aime raconté ma vie n'importe comment on comprend rien à ce que je raconte
Je m'aime (presque)

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